Oui à la publicité papier !

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Pour faire connaître nos activités, ou nos événements, nous avons plusieurs possibilités et c’est réjouissant. Nous pouvons utiliser les réseaux sociaux, adresser des newsletters, créer un site internet et y inviter nos interlocuteurs et interlocutrices. Certaines entreprises utilisent aussi les envois par la poste.

Quelles sont les meilleures solutions ?

Je me suis posé la question : comment faire connaître mes activités de coaching ? La réponse n’est pas simple car pour chaque solution, on se trouve devant plusieurs questions telles que : Quel est son coût ? Son efficacité ? Son empreinte écologique ? … 

La publicité papier ?

Je pense tout d’abord aux publicités papier glissées dans notre boîte aux lettres, dans notre journal quotidien ou dans nos revues. Peut-être que, comme moi, vous déplorez devoir gérer ces publicités qui ne vous intéressent pas. Peut-être qu’elles viennent grossir les tas de papier que vous devez apporter au recyclage ? Solution coûteuse, probablement peu efficace et surtout éloignée de toute considération écologique.

La publicité électronique ?

Vu ce qui précède, les supports électroniques apparaissent comme une bonne solution. Nous aurions le sentiment que tout le monde y gagnerait. Suivant la solution choisie, elle pourrait aussi bien viser « la masse » que s’adresser à des personnes, ou à des groupes de personnes ciblées. Donc probablement assez efficace, peu coûteuse et surtout nous n’aurions pas tout ce travail d’envoi et de recyclage. La nature en serait reconnaissante : plus besoin de papier, d’encre polluante, de transport et de distribution. C’est juste, mais nous oublions en général le coût énergétique des réseaux….

La publicité électronique n’est pas toujours convaincante

A mon avis, la publicité électronique a un grand défaut : elle disparaît facilement.

Si vous n’achetez pas immédiatement le produit ou le service. Si vous n’imprimez pas rapidement ce qui vous intéresse. Si vous n’avez pas un système performant de stockage pour y revenir ultérieurement.

Dans ces cas, malheureusement, il y a bien des chances que ces informations s’éclipsent et que vous les oubliez. 

La beauté du papillon

Mais il existe encore une solution, assez traditionnelle. Celle du papillon ou du dépliant. En général imprimé en format A5 ou A4.

C’est une solution assez coûteuse qui nécessite une distribution ciblée et raisonnable. Destinée à être donnée en main propre ou à être déposée sur un présentoir, dans une salle d’attente, elle n’engendre que peu de transports, donc peu d’empreinte écologique. 

A leur avantage, outre leur légèreté, le papillon ou le dépliant répondent à un besoin dont il faut, me semble-t-il, tenir compte : le besoin d’une présence physique. Vous pouvez les poser sur votre table. Il se rappelleront à votre regard, vous inviteront à les examiner de plus près. Vous pouvez les passer facilement à une personne qui pourrait en avoir besoin. 

J’ai opté pour un dépliant

C’est sur ces réflexions que j’ai décidé de compléter les informations que je donne sur mon site, dans mes newsletters, lors de mes contacts personnels, sur Linkedin ou Facebook. J’ai créé, avec la graphiste Laura Kobi, un dépliant d’une seule page A4 recto-verso. 

Vous êtes intrigué.e ? Vous avez envie d’en savoir plus ? Je peux vous l’envoyer par la poste si vous me laissez un message avec votre adresse sur la page « contact ». Vous pouvez aussi le télécharger. 

Enfin, n’hésitez pas à me faire part de vos réactions suite à cet article.

Elles m’intéressent toujours et je vous en remercie du fond du cœur.